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L’huile d’olive, une valeur sûre dans la cuisine française en raison de ses nombreux bienfaits pour la santé, ne cesse d’attirer l’attention des consommateurs. Après tout, on sait à quel point elle est riche en bienfaits. Sans parler de sa saveur unique et délicieuse. On peut donc se tourner naturellement vers n’importe quelle référence les yeux fermés. N’est-ce pas ?
Malheureusement, non. En effet, une enquête des experts de 60 millions de consommateurs révèle que toutes les huiles d’olive ne sont pas équivalentes. Ils soulignent la nécessité de faire les bons choix au supermarché. Mais alors, quelles sont les références qu’il faut éviter ?
Huile d’olive : des bienfaits pour la santé
Les bienfaits de l’huile d’olive pour la santé sont indéniables. Sa richesse en acides gras monoinsaturés, tels que l’acide oléique, favorise la santé cardiaque. En effet, cet acide permet de réduire le taux de mauvais cholestérol. En outre, il augmente le taux de bon cholestérol.
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De plus, ses propriétés anti-inflammatoires contribuent à réduire l’inflammation dans le corps. De quoi assurer ainsi le bien-être général. Les composants de l’huile d’olive ont également des effets protecteurs contre certains types de cancer, comme le cancer du rein, de la peau et colorectal.
Sa saveur unique la rend indispensable pour de nombreux plats en France. D’autant plus qu’elle a un avantage de choix. En effet, elle est tout autant comestible chaude que froide. Vous pouvez donc la mettre dans des salades froides comme dans des plats au four ou à la poêle. Elle ne perd pas ses propriétés intéressantes.
Une étude sur l’huile d’olive
Cependant, la popularité de l’huile d’olive incite les experts de 60 millions de consommateurs à mener une enquête. Leur analyse de 24 références, présentée dans un dossier spécial intitulé « Huile d’olive : La moitié des références déclassée !« , révèle des conclusions préoccupantes.
Ils y révèlent que vingt-trois des références testées contiennent entre un et trois plastifiants, dont le di-isononyl phtalate (DINP), le diéthylhexyl phtalate (DEHP) classé comme perturbateur endocrinien avéré, et le dibutyl phtalate (DBP).
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Parmi les marques à éviter, l’huile d’olive Terra Delyssa et celle de La Vie Claire sont spécifiquement mentionnées en raison de la présence de DEHP et DBP. De même, l’huile Cauvin Bio et l’huile d’olive Naturalia Vierge extra contiennent des perturbateurs endocriniens et doivent être évitées.
Vers quelle référence se tourner ?
Cette étude permet de mettre en avant les mauvais élèves. Les références que vous devez éviter pour votre santé. Mais les experts ne pointent pas seulement du doigt les bonnets d’âne. Ils mettent aussi sur le devant de la scène les bons élèves. En l’occurrence, le bon élève.
En effet, une marque se distingue dans cette étude. Il s’agit de la marque Primadonna, disponible chez Lidl. Elle obtient la belle note de 16 sur 20 dans l’étude. Les experts la saluent comme la seule à ne contenir aucun polluant. Elle offre ainsi une option plus sûre pour les consommateurs soucieux de leur santé.
Deuxième bonne nouvelle, son prix. Vous pouvez l’acheter contre moins de sept euros. Quand on sait à quel point l’huile d’olive peut être chère, c’est un autre élément qui plaide en sa faveur.
